Everything must end

Inspiration initiale

L'idée de cette histoire est venu d'une chanson. Je regardais un épisode d'une série (Castle ou The Blacklist il me semble) et Everything must end de Client était la chanson de fin. Je ne connaissais pas la chanson et j'ai du faire une recherche google pour trouver le titre, le groupe et l'écouter en entier ensuite.

La chanson m'a de suite fait penser à la scéne finale. Il ne me trouvait alors plus qu'à trouver pourquoi le personnage principal joueait sa vie avec la fonction Random de son Ipod.

Background des personnages et des lieux

Le personnage principal s'appelle Elliot. Elliot Braters. Au moment où se passe le récit, il a 54 ans.

Si il y a 1716 chansons dans sa playlist c'est pour une raison simple, cela correspond à un nombre de jour. Sa fille est née le 8 mars 2019. Il a été condamné le 28 novembre 2023. Entre les deux, il y a 1716 jours. (Merci datetime et les timedelta)

La station Fulton Street, les rues Beaver et Pearl existent toutes bien évidement. Les deux rues sont toutes proches du bas de Wall Street.

Le bar Rocka Rolla existe également. Il est en plein Williamsburg à Brooklyn. Bien qu'un peu glauque, il vaut le coup d'oeil mais la bière n'est pas vraiment magnifique. (Si vous êtes dans le coin allez plutôt au Barcade ! :)

Modification en cours d'écriture

Dans mon storyboard original, Elliot ne va pas en prison, son entreprise est simplement déclarée illégale et il perd tout. Mais en écrivant, je me suis dit que la ruine n'était pas la raison que je voulais utiliser pour expliquer la perte avec sa famille. La prison, l'accusation de terrorisme me semblait bien plus intéressante. Et puis cela raisonne avec l'époque actuelle.

Précision sans importance, j'avais prévu qu'Elliot fasse lire des xkcd au systéme expert. Mais finalement à 3h30 du matin, c'est devenu des Dilbert (peut-être parce que j'ai it's obvious you won't survive by your wits alone dans ma bibliothéque :) )

Fin alternative

Au départ, j'avais prévu une autre fin pour l'histoire. Que j'ai même écrite. Elliot saute. Mais au lieu de cloturer le texte, l'action se transporte à Amsterdam, chez un couple de femme. Une petite maison de ville, deux étages, la chambre en haut. Elles vont partir pour un rendez-vous médical, l'une d'entre-elles est enceinte. Sa compagne déjà prête l'appelle. La future maman ne réponds pas. L'autre remonte et la trouve en larme, un email afficher sur l'écran mural. L'email est une lettre d'adieu en mode 'Bonjour ma fille, si tu lis ceci c'est que je suis mort..etc etc'.

Mais finalement cela faisait trop mélo. J'avais l'impression de rajouter du patos pour rien. Et puis je trouvais que cela n'allait pas avec le personnage d'Elliot. Pourquoi est ce qu'il aurait attendu sa mort pour reprendre contact...

Donc au final, j'ai supprimé cette partie.

Playlist

La playlist que j'ai écouté est tout simplement une sous partie de celle de l'Ipod d'Elliot. Toutes les chansons citées dans le texte ont résonné dans mes oreilles lorsque j'écrivais cette nouvelle. La playlist d'Elliot fait 1716 chansons, celle que j'ai utilisé pour écrire l'histoire n'en contenait que 14 mais ces 14 morceaux étaient indéniablement sur sa playlist.